La marche arrière sur l’application rigoureuse des ZFE ouvre le champ à de nouvelles perspectives qui sont, pour une fois, réconfortantes.
'épisode des Gilets jaunes a laissé des traces indélébiles et il n'est manifestement plus l'heure, dans un contexte social tendu, de laminer l'automobiliste avec des règles perçues comme injustes. C'est le cas des zones à faibles émissions qui sonten ville, lundi. Celui-ci annonce un plan à deux vitesses, selon les mérites mesurés et comparés des villes concernées.
N'en déplaise à Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, la perspective de 42 agglomérations françaises soumises à l'octroi écologique en 2025 a bel et bien été ramenée à cinq.
À leurs côtés, et Christophe Béchu introduit une précision sémantique, il y aura les moins mauvaises qui se tiennent nettement en dessous du seuil critique de 40 μg/m3 et qui, sous surveillance, sont désignées sous le vocable de « zones de vigilance » ou encore #3. Cela n'est pas sans conséquence et induit un certain nombre de précisions utiles.
il vaudrait mieux aider l'occasion où les premiers véhicules électriques d'origine sont accessibles dès 6 000 euros pour une Renault Zoe par exemple.Si les propositions de la commission recèlent leur part de « boboïtude » avec des aides au transfert de l'auto vers le vélo, il reste le recours au prêt à taux zéro et au microcrédit qui permettraient de réduire l'avance de fonds.
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