🇫🇷 L’opération Wuambushu se poursuit à Mayotte, où des bidonvilles sont détruits pour faciliter les expulsions de migrants, majoritairement venus des Comores. Le décryptage du quotidien britannique “The Guardian”.
. Une douzaine de pelleteuses et des camions transportant des policiers ont fait le travail. Le mardi 23 mai, la plupart des 162 logements de fortune de ce quartier avaient été démolis, laissant des milliers de sans-abri.
Auparavant, la police avait déjà commencé à utiliser des balles réelles et à arrêter des jeunes censés appartenir à des bandes criminelles. Les autorités auraient l’intention d’expulser entre 10 000 et 20 000 sans-papiers , et de détruire 10 000Les immigrés vont être renvoyés aux Comores, dans les trois îles de l’archipel, dont beaucoup de sans-papiers sont originaires.qui se poursuit depuis des décennies.
”, explique-t-elle. La présence policière est importante à Mayotte, où la répression des migrants se fait souvent au mépris de la légalité, qu’il s’agisse de contrôles d’identité fondés sur le profilage ou de descentes de police au domicile des habitants. Ainsi, dans les faitsSoutenez une rédaction indépendante