ETUDE DE CAS. Une étude montre que, lorsque la rémunération est annoncée en amont de l'embauche comme c'est le cas pour les stages, les discriminations de genre s'estompent. Par Alain Klarsfeld, TBS Education et Nadine Galy, TBS Education
Le 15 décembre dernier, un accord a été trouvé entre Parlement européen et gouvernements des pays de l'Union européenne sur une directive visant à une plus grande transparence des salaires. Ce texte se donne notamment pour objectif de réduire les inégalités salariales entre femmes et hommes.
Décrochage dès le premier emploi Ceci laisse supposer qu'il n'y a pas de discrimination directe entre femmes et hommes en ce qui concerne la rémunération du stage, au contraire de ce qui existe et se renforce tout au long de la vie professionnelle. Ce décrochage dès le premier contrat à durée indéterminée est d'ailleurs suggéré par les données de la Conférence des grandes écoles .
Nous avançons l'explication suivante : pour un premier emploi, les entreprises n'affichent pas toujours la rémunération proposée dans l'annonce de recrutement, voire ne définissent pas de niveau de rémunération du tout, pouvant ainsi tirer parti du fait que le candidat avait dans son emploi précédent une rémunération basse.
Limiter les espaces de négociation Nous avons également constaté que les comportements de tentative de négociation de rémunération, côté étudiant, lors de l'élaboration de la lettre de mission du stage, sont très peu répandus, alors qu'il est beaucoup plus courant qu'ils ou elles négocient leur premier salaire à l'embauche en CDI.
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