Après cette année qui se termine, il y a de quoi être inquiet ⬇
et la sécheresse dans la Corne de l’Afrique, les catastrophes naturelles se succèdent, imputées par les scientifiques à ce réchauffement de la planète dû aux émissions de gaz à effet de serre.ou encore au Québec et jusqu’aux confins de l’Arctique, attisant une prise de conscience sur la nécessité d’agir.
avec un accord sur l’aide aux pays pauvres affectés par le changement climatique mais sans grande ambition sur la réduction de ces gaz à effet de serre. « Ce dont nous avons réellement besoin ce sont des évaluations plus affinées sur comment les risques pourraient se répercuter en cascade à travers le monde », estime Luke Kemp de l’université Cambridge, qui déplore une relative « dédramatisation » de certains acteurs y compris scientifiques.