Au deuxième jour de sa quatrième session, samedi 21 janvier, la Convention sur la fin de vie s’est penchée sur la délicate question de la prise en charge des souffrances réfractaires avant de reprendre le cycle de ses « délibérations ». À l’écart de la presse.
Ce matin, samedi 21 janvier, 8 h 30, au deuxième jour de la quatrième session de la Convention sur la fin de vie, Étienne B., la trentaine, secouriste à Saint-Étienne, a les yeux qui piquent un peu.
« En tout cas, ce que j’ai vu à Jeanne Garnier, est impressionnant. Des établissements comme ça, il devrait y en avoir dans toute la France.
« le traitement des douleurs est l’affaire de tous, familles, proches, bénévoles, société. Un enjeu d’humanité pour redonner du sens à la vie quand tout semble perdu »« Une affaire d’accueil, de parole et d’écoute, de temps donné alors qu’il est de plus en plus compté.
« Pour une fois, on ne nous a pas saoulés avec des chiffres et des mots compliqués. On a parlé à hauteur d’homme, de ce qui se vit de difficile tous les jours, pour les patients et auprès d’eux »
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