La révélation du cinéma français, repéré dans 'Eté 85' et les 'Illusions perdues' joue Céline dans le texte, seul en scène dans une adaptation de son roman posthume publié l’an dernier.
Enfant de la balle, rarement présent sur les planches, Benjamin Voisin estime que c’est pour lui une"première" d’être"vraiment" sur scène cette année. Il est venu à Avignon, plus jeune, avec"une bande potes" pour jouer.
C’est dans la discrète cour du Chêne noir, institution du Off avignonnais, que Benjamin Voisin, à la sortie de sa représentation deFranceinfo Culture : Ce n’est pas votre première à Avignon, que représente le festival pour vous ?Je suis venu il y a sept ans, avec des potes. On avait inauguré le Théâtre du Train Bleu . C’était bien, mais ce n’était pas aussi professionnel. Depuis, j'ai essayé de m'améliorer un peu .
Vous jouez seul en scène, le genre explose cette année à Avignon après une montée en flèche depuis au moins cinq ans, quel regard avez-vous sur ce phénomène ? Économiquement, c’est sûr que cela coûte moins cher, donc ça aide à rembourser les salles, puisqu’on fonctionne sur les recettes. C’est plus facile que de payer dix comédiens. Mais personnellement, c’est un exercice que je trouve extraordinaire. Quand on est rythmé, c’est un voyage, c’est comme faire l’amour, c’est facile.
Oui, énorme. Bérangère Gallot et Benoît Lavigney y ont passé des heures. Quand je suis arrivé, ils avaient déjà abattu un travail monstre et on a continué pour voir ce que moi, j’avais dans la bouche. D’autres comédiens proposaient des choses plus violentes. Non, moi, je voulais ramener la juvénilité du personnage.
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